7 TOUS MES PROJETS






CAMPAGNE IMAGINAIRE RÉALISÉE AVEC L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - PRADA EYEWEAR

PROJET PERSONNEL - JUIN 2025


Dans l’esprit des campagnes Prada, j’ai voulu instaurer une élégance froide, presque distante, où le pouvoir naît du contrôle.

L’homme, assis au sol dans un tailoring impeccable et des lunettes noires Prada, conjugue vulnérabilité et assurance. 
En face, la femme, suggérée uniquement par ses jambes bottées, s’érige en totem d’autorité. Cette mise en scène bouscule les codes du male gaze, jugés dépassés : le regard masculin, relégué en contre-champ, cède la place à une présence féminine souveraine.

Le langage studio, inspiré de Mario Sorrenti, Glen Luchford ou des campagnes Tom Ford des années 2010, assume un cadrage resserré et une asymétrie rigoureuse. La hiérarchie des volumes crée une tension cinématographique immédiate. Ici, la lunette 
ne se contente pas d’être portée : elle pose un statement, affirmant une nouvelle dynamique entre les genres et réinventant les codes publicitaires du luxe pour une époque qui réclame plus d’équité visuelle.




CRÉATION ET DESIGN D’UNE MARQUE D’EAU (3D BLENDER)

PROJET SCOLAIRE - MARS 2024




CAMPAGNE IMAGINAIRE RÉALISÉE AVEC L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - LOUIS VUITTON PARFUM

PROJET PERSONNEL - JUIN 2025


J’ai imaginé cette image comme un instant suspendu. Une femme, debout, enveloppée de voiles en mouvement, comme si l’air autour d’elle portait la mémoire d’un passage. Le décor semble comme un rêve, un voyage onirique. Ce qui compte, c’est la sensation d’ une présence douce, presque irréelle.

Le parfum Contre Moi devient ici un langage invisible, un souffle intime, une empreinte légère laissée dans l’espace. Il ne se montre pas, il ne se décrit pas : il suggère, il évoque, il transporte. L’univers visuel s’inspire de René Magritte, pour sa manière de transformer le réel en matière de rêve, de Sarah Moon, pour cette délicatesse floue, presque voilée, de la féminité, et de Viviane Sassen, pour son regard sculptural sur le corps et l’objet en mouvement, entre abstraction et émotion.

Tout est pensé pour laisser place au ressenti : la lumière douce, la matière en mouvement, le corps comme point d’ancrage dans un paysage intérieur. C’est une image qui ne raconte pas une histoire, mais qui ouvre un espace.

Un voyage immobile, à la frontière du tangible et du rêve.




GAGNANT DU CONCOURS DE COUVERTURE POUR LE MAGAZINE MOSAÏQUE

EXPOSITION DÉDIÉE LE 28 JUIN À GENÈVE LORS D’UN EVENT À LA BOUTIQUE : UN MAGASIN DIFFÉRENT

PHOTO : FÉLIX DÉVAUX





ROCK CONCERT - SHORT CUT

PROJET PERSONNEL - OCTOBRE 2024




RÉALISATION D’UN LOOKBOOK PHOTO FICTIF
POUR ENFANTS RICHES DÉPRIMÉS

PROJET PERSONNEL - MAI 2025


L’idée était de créer une image publicitaire dans l’attitude, mais qui en efface les codes traditionnels.
Un visuel qui ne cherche pas à vendre, mais à incarner un état d’esprit : celui d’une jeunesse dorée, mais en retrait.
Présente sans s’expliquer.

Je me suis inspiré du street photographique japonais — Daido Moriyama, Tatsuo Suzuki — pour la frontalité, le flash cru,
un grain marqué. On est dans un entre-deux : un moment volé dans un club ou un appartement chic, où les personnages 
sont beaux, mais désintéressés. Ils ne cherchent pas la caméra, ils ne séduisent pas. Ils existent, simplement, dans une forme 
de détachement émotionnel propre à l’univers d’Enfants Riches Déprimés.

Ce n’est pas une mise en scène de la tristesse, ni une ironie appuyée — c’est une posture intérieure, presque générationnelle : 
tout a déjà été dit, tout a déjà été vu, alors autant s’habiller pour soi, être là pour exister, pas pour performer. 
Mais replacé ici dans un contexte bourgeois, feutré, où le vide prend la place du geste.

Les modèles sont stylés mais absents, beaux mais ailleurs. Il n’y a pas de narration, juste une posture :

Je suis là parce que ça me ressemble.




MOODBOARD & RÉFÉRENCES ICONOGRAPHIQUES


1. Dépaysement Exhibition: Tatsuo Suzuki, 2018
2. Kate Moss by Glen Luchford for thefacemagazine, NYC, 1994
3. Enfants Riches Déprimés Men’s Spring 2019 by Henri Alexandre
4. Daido Moriyama – Tokyo, 1978




PROJET ÉDITORIAL LORS DU VOYAGE D’ÉTUDES
À VENISE - SUJET : LE PORTRAIT

PROJET SCOLAIRE - OCTOBRE 2024

Lors de mon voyage d’études à Venise, j’ai eu envie de parler d’un visage sans forcément le montrer. Sur l’île de Murano, 
j’ai rencontré un artisan verrier. Un des derniers. Ce qui m’a marqué, ce n’est pas seulement ce qu’il faisait, mais la manière dont tout ce qu’il est passe dans ses créations.

Très vite, j’ai compris que son portrait ne pouvait pas se résumer à des mots ou une image figée. Il est dans les textures, les couleurs, les gestes. Dans la matière même. J’ai choisi de le raconter à travers son travail — de composer un portrait par fragments, 
comme une mosaïque.

Le mot mosaïque s’est imposé : Pas seulement pour parler du verre ou des motifs, mais parce qu’il résume ma démarche : assembler. Des formes, des photos, des morceaux de récit, pour laisser deviner qui est cet homme. Le dépliant joue avec cette logique : chaque page est pensée comme une pièce. Ensemble, elles forment un portrait. Pas un portrait figé, mais un reflet vivant de son identité d'artisan.

Ce projet, c’est à la fois un hommage à son savoir-faire, et une manière d’interroger ce que c’est, vraiment, faire le portrait 
de quelqu’un.






SÉRIE DE PHOTOS PRISES SUR L’ILE DE MURANO

MOSAÏQUES ET RÉCIT D’UN PORTRAIT  




REBRANDING D’UNE CHAÎNE D’HÔTEL

PROJET SCOLAIRE - JANVIER 2024




DESIGN GRAPHIQUE ET MISE EN PAGE
“PETIT GLOSSAIRE TYPOGRAPHIQUE INCOMPLET MAIS SPONTANÉ” DE RAYMOND GID

PROJET SCOLAIRE - MAI 2024




MUSIC + LIFE
SÉRIE DE PHOTOS - THÈME : MATIÈRES SONORES


PROJET PERSONNEL - OCTOBRE 2024




DESIGN GRAPHIQUE ET MISE EN PAGE D’UN LEPORELLO
SUJET : CHOISIR UN OBJET ATYPIQUE ET EN FAIRE SA NARRATION VISUELLE

PROJET SCOLAIRE - JANVIER 2025





CAMPAGNE IMAGINAIRE RÉALISÉE AVEC L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE - MUGLER ANGEL

PROJET PERSONNEL - JUILLET 2025


Dans l’esprit de Mugler, j’ai voulu incarner la puissance transformatrice d’Angel, parfum-manifeste et objet céleste. La femme, surgissant de l’ombre dans une posture animale et magnétique, évoque une étoile tombée sur Terre — mystique, indomptable, presque alien.

L’esthétique bleutée, métallique, fait écho à l’univers futuriste de Mugler : une sensualité cosmique, où le parfum n’adoucit pas,
il métamorphose. Ici, Angel devient un talisman, une arme, un pouvoir d’attraction gravitationnel.



REFONT D’ALBUM DE COVER RÉALISÉE AVEC L’INTELLIGENCE ARTIFICIELLE
SUJET : MODERNISER L’IMAGE

PROJET PERSONNEL - MAI 2025